Tests d'allergie

• Vous pouvez prendre un petit déjeuner léger et pouvez manger et boire pendant le test. 
• Vous devez arrêter tout traitement anti-allergique 48 heures avant le test. 
• Vous ne pouvez pas prendre vos antihypertenseurs (inhibiteurs de l’enzyme de conversion et bêta-bloquants) 24 heures avant le test.  

• Le personnel infirmier introduit une perfusion afin de pouvoir réagir rapidement en cas de réaction.  
• Le médecin réalise les tests cutanés. Il commence toujours avec la dose la plus faible et l’augmentera progressivement. 
  • Pour les médicaments, le médecin commence habituellement avec un prick test. En cas de concentration accrue, il introduit une petite injection sous-cutanée.
  • Pour les aliments, le médecin utilise uniquement des prick tests via l’alimentation. 
  • Pour certains médicaments ou aliments, le médecin peut également effectuer un test de tolérance par voie orale ou par injection en dose croissante. Pendant ce test, il déterminera si vous êtes tolérant(e) ou non à un certain médicament ou aliment.
• Après chaque série de tests cutanés, le médecin interprétera le résultat avant de passer à une dose supérieure. 
• En règle générale, les tests d’allergie durent 3 à 4 heures et vous pourrez donc rentrer chez vous peu après l’heure du midi. Lorsque le médecin doit effectuer des tests de tolérance, l'examen peut durer 16 à 17 heures. 

Le risque que vous présentiez une réaction allergique lors des tests ne peut être exclu. C’est, en effet, l’objectif du test. Ce risque demeure toutefois restreint, étant donné que le médecin a d’abord recours à des toutes petites doses via les tests cutanés et qu’il les augmentera très progressivement. Il prendra toujours les précautions nécessaires. Le personnel infirmier introduit une perfusion pour pouvoir réagir rapidement et vous recevrez une sonnette d’alarme pour pouvoir nous avertir dès la moindre réaction. Le personnel infirmier et le médecin passeront évidemment régulièrement. 

Il est possible que vous sentiez une brève douleur lors de l’application des tests sous-cutanés. En règle générale, cette douleur est toutefois limitée.